Archive pour la catégorie ‘La vie des Plumpies’
Gogole IV
Le retour de la vengeance : le top 3 des requêtes Google qui devient pour une fois le top 5 !
Notre moteur de recherche adoré nous a bien gâtés, cher lecteur adoré !
Voici donc le Top Of The Pops des mots-clefs incongrus que tu as tapé dans notre moteur de recherche préféré et qui t’ont conduit chez les Plumpies, cher lecteur adoré:
- comment prononcer pull and bear: comme ça s’écrit ?
- meduses almanarre septembre 2010: je crois que nous avons un vrai futur si nous décidons de nous reconvertir dans le monde piscicole.
- photos brune bouclée robe violette avec 2 hommes: c’est Plumpy Chic que vous cherchez ? Il y a erreur, elle se promène avec deux autres FILLES : Plumpies Cool & Trash
- rue chantilly evil : je ne vois pas le rapport
- stickers perruches : t’as qu’à nous traiter de grues et de pot de colle aussi !
C’est tout pour aujourd’hui…
Fashion Bloggers Secret Santa – Edition 2010
Mais qu’est-ce que c’est que cette chose?
L’association de ces jolis mots m’a de prime abord laissée perplexe :
fashion, oui j’aime un peu la mode. Souvent à ma manière, mais quand même…
bloggers : j’en suis une, ça tombe bien!
secret : mystérieux, mmm j’adore!
santa : (Klaus?) j’ai des petites clochettes qui résonnent dans ma tête et « jingle bells » en musique de fond
Les fêtes de fin d’année approchent-elles déjà à si grand pas? Hé bien oui! Les cartables de septembre sont déjà en utilisation à plein régime, nos agendas plein de notes, l’été indien s’en est officiellement allé définitivement ce week-end. Il nous reste bientôt Halloween à fêter et ce sera la grande course à la dinde et aux marrons.
Mais revenons à nos moutons, le FBSS (Ouatizdiz?) : on s’échange des petits cadeaux (de montant fixe et en rapport avec la mode) entre blogueuses. Vous envoyez un colis à une inconnue et vous en recevez un autre d’une autre inconnue en échange. C’est un peu les chaînes de l’amitié épistolaire de nos douze ans, mais avec un petit cadeau.
Cette année, c’est Valérie de Blog To Be Alive qui s’y colle et qui organise tout ça! Vous avez jusqu’au 30 septembre 2010 pour vous y inscrire (oui, c’est très bientôt, je sais, saloperie de procrastination!). Tous les détails tout ça, tout ça, c’est ici et c’est maintenant.
Mis à part ça, la jolie Valérie est nominée pour les Elle Style Awards.
Allez voter pour elle et peut-être remporter une entrée pour l’évènement: il suffit de se rendre ici. Vous devez voter dans chaque catégorie afin de valider votre vote.
Plump it up à toi Valérie!
Plumpy Guest – Audrey, auteure de Big Or Not To Big
Il y a quelques semaines, nous proposions de laisser libre parole plumpesque. Le bal a été ouvert par Colline dont le témoignage a été très touchant.
Aujourd’hui, les Plumpies laissent donc la plume à une personne qu’elles aiment beaucoup, tant par sa joie de vivre, sa gentillesse, son humour. Cette fille est belle et son style est aussi une inspiration pour nous, et nous squattons nos flux RSS en permanence dans l’attente d’un nouvel article sur son blog. Nous sommes donc très heureuses qu’elle ait accepté de jouer le jeu.
A toi Audrey!
Tout d’abord, je remercie les Plumpy’s pour me consacrer cet espace sur leur blog !
Alors pour me présenter (une des choses que j’ai le plus difficilement à faire, surement dûe au traumatisme des fiches de présentation de l’école qu’on devait remplir…), on va faire dans le simple:
Je m’appelle Audrey, quasiment 23 ans au compteur, ne sachant toujours pas ce qu’elle veut faire quand elle sera grande.
(oui c’est bref, mais j’avais bien dit que je n’étais pas douée pour les présentations )
Concernant mon physique, on peut dire que je suis une petite grosse, mais je dois dire que cela ne me dérange pas outre mesure, vivant depuis un certain moment avec ces rondeurs…
J’ai commencé très jeune à forcir, sûrement un partage entre patrimoine génétique, et mauvaises habitudes alimentaires.
Etant petite, c’était pas cata, j’étais juste un peu plus potelée que les autres gamins (je remercierais d’ailleurs toujours ma prof de danse classique de m’avoir sortit un jour « ah bah pour Audrey va falloir mettre cher vu qu’il y aura plus de tissus »…hahahaha), puis avec les années, j’ai grossi de plus en plus.
J’ai bien évidemment essayé divers régimes: celui de la soupe aux choux où j’ai tenu… 3 jours, les régimes pré-conçus par une diététicienne, la semaine en hôpital pour ré-apprendre les bases alimentaires (en fait j’ai fait 2 séjours…), le régime « je pèse mes quantités », etc, etc.
Évidemment tous se sont soldés par un échec, me faisant prendre plus de poids que les pertes de kilos que j’avais pu avoir.
Cela a eu pour conséquence d’augmenter ma corpulence d’année en année…
Si j’ai pu en pâtir au collège et un peu au lycée (surtout au collège en fait, ayant beaucoup de têtes de cons comme camarades…), j’ai décidé un beau jour de ne plus me prendre la tête avec ça, et de m’accepter telle que j’étais.
D’ailleurs, depuis que j’ai arrêté de névroser sur mon poids, bien que toujours grosse, je me suis stabilisée depuis maintenant quelques années….
Je ne serai de toute façon jamais mince, alors autant s’assumer comme telle, et envoyer tout balader (même si il y a toujours un abruti dans la famille pour vous zieuter dès que vous prenez un truc calorique et vous sortir « c’est pas bon pour toi ça »…. dans ces cas-là, j’ai envie de dire merde !)
C’est d’ailleurs à partir de ce moment là que j’ai commencé à fortement m’intéresser aux fringues…
Au début, je me mettais ce que je trouvais et qui m’allait surtout, sans réellement chercher à affiner plus que cela…
Et puis en découvrant les boutiques internet, notamment anglaises, proposant des choses à ma taille et surtout modernes (c’est-à-dire que ta grand-mère, elle aura pas le même sur le dos !), j’ai commencé à véritablement me lâcher (la carte bleue en pâtit encore chaque semaine…)
C’est à ce moment là que j’ai ouvert mon blog, afin de tester des choses, d’affirmer ce que j’aime et ce qui me va.
Il est centré uniquement autour de la mode (avec un peu de « raconte ta life » aussi…), et j’y expose nombre de mes tenues.
Ce blog me permet de m’amuser, de tester, d’explorer etc… pour oser de plus en plus de choses.
Je ne pourrais pas vraiment définir mon « style », aimant diverses choses, de la tendance « rock’n roll« , au romantique, en passant par la couleur, etc…
J’aime beaucoup regarder les blogs, notamment ceux de rondes car adaptés à ma morpho, mais aussi les magazines, les sites sur les tendances et plein d’autres choses.
Je picore des idées un peu partout, et fouille aussi sur le web pour trouver des vêtements et accessoires qui me plaisent afin d’assembler le tout.
Tout cela donne un mélange de diverses choses me servant à construire mon look, évoluant de plus en plus, sachant un peu mieux désormais ce que j’aime vraiment.
Et depuis que je trouve de quoi m’habiller, c’est un vrai bonheur, même si je pense que l’acceptation de soi ne passe pas seulement par les fringues mais surtout au fond de soi (car si on ne s’accepte pas, jolies fringues ou pas, au bout d’un moment la couche de peinture en surface va craqueler…).
En tout cas, encore merci aux Plumpy’s de m’avoir donné la parole !
Audrey
La PlumpyCool Family à la TV cet hiver…
Hier soir, j’ai fait plaisir à mes Plumpycoolitos ! Nous sommes allés à l’enregistrement de l’émission « La France a un incroyable talent ». Ils sont fan des gagnants de l’année dernière Les échos liés et à vrai dire moi aussi, nous étions allés les voir à Bobino. Comme guests il y avait d’autres candidats parmi les plus sympas : Skorpion, l’homme insecte, Florian le magicien, et l’animateur de la soirée était Anthony Joubert alias William de Fly que la Plumpy Cool Family adore et qui la fait beaucoup rire !
Et qu’on a revu hier soir, à l’arrivée, d’abord, puis en sortant il a attrapé PlumpyCoolita par les épaules et lui a posé des questions à sa façon sur la soirée sous l’œil de la caméra…on espère que ça sera diffusé car c’était trop drôle !
J’avais trouvé les places la veille sur internet, en rentrant du BlackDog, j’avais un peu de mal à y croire, mais si, j’ai reçu un email de confirmation et hop ! Hier après-midi direction le Palais des Congrès d’Issy les Moulineaux.
Petit hic ! Détecteurs de métaux à l’entrée, pas de sac ni veste, blouson, etc… car portables, caméras et appareils photos strictement interdits sous peine d’exclusion…donc bon reportage raté pour les images !
Beaucoup, beaucoup de monde, accueil plutôt sympa, pas ou peu de clim, donc grosse chaleur avec les projos, et donc soif trèèèèès très soif. A part le problème du ravitaillement de l’eau, nous avons passé une très bonne soirée, arrivés à 18h et sortis vers minuit.
Le jury a changé cette année : Dave (hooo Vanina rappelle-toi, que je ne suis rien sans toi…) et Sophie Edelstein (directrice artistique du cirque Pinder) et toujours le désormais célèbre par ses arrivées sur scènes sous les huées du public : Gilbert Rozon.
D’entrée on a eu droit à une super prestation de chanteurs de Gospel « urbain » habillés tout en blanc et qui ont fait danser le public…mais éliminés, tout comme le dresseur de perruches, le mec pas drôle, le chanteur/danseur qui ne sait faire ni l’un ni l’autre, le danseur « à la verticale », (entre 2 murs), le mec robot lumineux qui fait du nunchaku lumineux aussi, les K-Uniques (petite et très jeune troupe hip-hop) qui manquaient de synchro.
En revanche on a vu un super show de motos, un véritable ballet sur un morceau des DOORS, un danseur/mime/comédien d’origine française, habitant et exerçant à Santa-Monica, Venice Beach et ayant atteint la demi-finale de la version américaine de la même émission. Sacha, l’homme grenouille contorsionniste, une jeune chanteuse de 14 ans avec une voix d’Aretha Franklin, tous ces derniers passent à l’étape suivante.
Après une telle soirée, dimanche : farniente, enfin presque, quand même un peu de rangement et de ménage / lessive, sinon rien mis à part un vrai plaisir le soir, de se préparer un bon repas comme on aime ! Pas vraiment diététique, j’ai eu envie de faire un camembert au four, comme on en avait mangé cet été à Hyères, surtout servi comme là-bas : avec plein de petites choses à tremper dedans.
Le camembert à utiliser doit être au lait cru impérativement. Je ne l’ai pas fait directement dans sa boite, je l’ai laissé dans son papier ouvert, ai fait une croix sur le dessus. Puis je l’ai emballé dans de l’alu et ai laissé une petite cheminée sur le haut.
Four préchauffé pendant 10 mn thermostat 6, et sur la grille directement pendant environ 20 mn.
Pendant ce temps j’ai rempli et décoré les assiettes, avec les « petites choses » : des petites pommes de terre entières, des radis, tomates, carottes et concombres en batonnets, une tranche de mortadelle, des petites brochettes rosette, chorizo, saucisson à l’ail, de la coppa pour moi.
Et nous avons pris l’apéro, héé oui même s’ils boivent du coca zéro c’est quand même l’apéro ! Moi j’ai bu le cocktail préféré de mon pôpa : le cocktail charentais, cognac et tonic. Pour le cognac, comme c’est un peu cher, je n’en ai pas toujours, j’ai trouvé un remplaçant économique : le brandy. Et pour le tonic je prends du light, car c’est justement le côté un peu amer que j’apprécie dans ce verre.
A la fin de ce repas pantagruélique, je peux vous confirmer une chose : 2 camemberts pour 3, c’est trop ! On a pas tout mangé !
Et là c’est la fin de ce petit billet car mon lit me somme d’aller me coucher…j’en peux plus !
Plump it down…
La vie, la mort, l’existence, le poids…
Aujourd’hui, je fais un blog avec les copines pour montrer au monde à la blogosphère dans son ensemble que je suis quelqu’un d’heureux et qui ne se soucie guère de son apparence physique. Il est temps de remettre les compteurs à zéro : en ce moment, je suis down, limite nervous breakdown. La vie a ses hauts et ses bas, me direz vous. Souvenez-vous, je vous disais que la vie n’a jamais été aussi belle qu’à trente ans.
Aujourd’hui, je me ronge avec ce putain de poids. Les hauts, les bas.
Aujourd’hui, je déteste mes kilos. Pourquoi? Je ne devrais pas. J’ai des copains que j’adore, un chéri raide dingue de moi et plus c’est le prince charmant (à ma manière quoi), un travail plutôt intéressant et plutôt pas mal payé, un joli chez moi dans lequel je veux hiberner.
Et pourtant, je me sens comme une « Sale Grosse Truie ». En référence à la nouvelle de Despentes, of course : une grosse qui se déteste et qui finit par se taillader de ne plus pouvoir se supporter.
Ben oui, la size acceptance commence par soi. Donc en plus de me confronter à mes problèmes psy personnels, le monde qui m’entoure ne me facilite pas vraiment la vie. J’en ai ras le cul de:
- devoir acheter mes fringues par correspondance : non mais merde quoi! pour avoir de jolis vêtements, faut que j’enrichisse le monde postal. Surtout que pour avoir des trucs sympas faut s’orienter vers l’étranger.
- devoir payer mes fringues plus cher : ouais ok, il y a plus de matière première, mais ça ne justifie pas l’écart de prix, surtout quand on connaît le coût de fabrication.
- devoir me sentir gênée quand il fait chaud et que je transpire: ben ouais, quand le gros sue, ça fait toujours mauvais effet
- ne pas pouvoir prendre l’avion : parce que mon cul rentre pas, ou mes jambes. C’est pareil dans les cars. Et puis à l’arrière des voitures où une fois sur deux la longueur de ceinture n’est pas suffisante.
- devoir choisir un bar ou un restaurant en fonction du types de sièges utilisés. Soit le cul déborde s’il y a des accoudoirs, soit ça ne rentre tout simplement pas, soit je crains de casser la chaise.
- ne pas pouvoir acheter des bagues de pacotille : au-delà du 56, le bling-bling se fait rare.
- du retour de la mode « le talon notamment aiguille, c’est trop sexy » : fuck, ça reste un instrument de torture, à part pour putifier au lit.
- la grossophobie : autant il est de plus en plus chaud de faire des blagues sur les noirs, les arabes, les pédés, autant les gros, on y va! Surtout que le gros ne se défendra pas, il n’a aucun sentiment de fierté et aucun sentiment d’appartenance à un groupe.
- ne pas pouvoir faire du sport avec les potes : parce que le sport, c’est la torture. A part la marche, la piscine et le vélo, mais toujours à la traîne.
- ne pas pouvoir bouffer ce que je veux dans la rue sans subir des regards désapprobateurs.
- » ok mais tu as un si joli visage »! Je suis un être sexuellement mûr donc j’ai un sexe merde!
Bref, la liste est longue. Les kilos font souffrir moralement mais aussi physiquement. Et moi en ce moment, je souffre d’un rhumatisme au pied, parce que mes os sont fatigués de mes kilos. Pour la première fois, mon médecin m’a demandé d’envisager la chirurgie.
Alors maigrir ou pas maigrir? Telle est la question que je ne voulais plus jamais me poser mais qui revient me tarauder….
Plumpy Guest – Colline
Nous vous faisions partager il y a quelque temps nos retrouvailles plumpesques, occasion pour nous de faire le point sur ce que nous voulions faire du blog.
Nous avions évoqué le fait d’inviter qui voudrait bien, à parler de la plumpitude, la sienne, celle des autres, whatever…
Et c’est une immense joie pour moi d’ouvrir le bal avec Colline. Pour vous situer, j’ai connu Colline il y a maintenant presque 15 ans (aïe ça fait mal) dans un internat destiné à faire maigrir les pauvres ado-plumpies en perdition que nous étions.
Nos routes se sont séparées et nous nous sommes retrouvées il y a quelques mois sur Facebook mais c’est bien le blog qui nous a permis de renouer un vrai dialogue. Chouette !
Colline a donc accepté de se raconter un peu, je laisse ma place avec un très grand plaisir…
A l’origine, je suis une femme. Qui a beaucoup de mal à se reconnaitre et s’assumer comme telle.
Qui évite le miroir du matin, et les suivants. Qui se cache derrière boubous et grandes tuniques.
Qui ne peut s’empêcher, les soirs de détresse bénigne ou maline, de se venger sur un gros plat de pâtes au gruyère. Qui ne peut pas croire qu’elle soit désirable pour quiconque. Qui se trouve difforme parfois même infirme…
Qui, qui, vous l’aurez compris, a une carence quelque part par là, qui la fait dérailler quelques fois, mais qui lui donne paradoxalement la force d’avancer coûte que coûte, celle aussi d’être parfois créative et un peu farfelue.
Qui voudrait bien assumer sa féminité mais c’est pour elle un labyrinthe bien complexe…
Qui pourtant plait aux hommes…
La femme que je suis a un rêve depuis longtemps…..il y a moins plus ou moins un an, rien à perdre tout à gagner, a décidé de tout lâcher, d y aller.
Me voici donc depuis neuf mois (tiens….neuf mois..) sur l’île aux belles eaux, Karukera, Gwadada, Guadeloupe quoi. En interrogation depuis moult années sur ma façon à moi de vivre cette féminité, à ce corps que je ne cesse de tenter de cacher, la femme qui est en moi s’est dit qu’elle avait là l’occasion de se libérer, de palpiter plus fort, de s’exprimer !! (Jusqu’à présent, je ne lui donnais que peu la possibilité d’exister, la peur du loup peut être…)
Et ici…, ici il s’est passé quelque chose, quelque chose de très simple.
Je n’ai pas eu le choix que de me dénuder un petit peu, que de montrer mes gros bras et mes mollets dodus. Pour une question de survie à la chaleur du pays, et parce qu’ici, les femmes sont très féminines, j’ai dû passer au concret.
Et force est de reconnaitre qu’au départ, ça ne choquait que moi…
En réalité, la peau halée aidant et les regards tout de sucre lancés sur moi, je me suis sentie un peu plus jolie, peu à peu mon regard sur la femme que je suis se transformait, en même temps que je m’épanouissais, et que, je dirais même, j’acceptais de m’épouser…
(Surement aussi, je le précise, parce que j’avais déjà entamé un bon petit bout de chemin à ce sujet avec une petite dizaine d’années d’analyse (psy-)…
D’où ce grand saut, ce grand pas au dessus de l’Atlantique, ce dépassement de petites et grandes peurs…
Maître mot depuis, je vais jusqu’au bout…
Alors, ma féminité est là, elle bouillonne en moi, allons jusqu’au bout, assumons entièrement toutes ces formes qui font ce moi, cette femme, cette être paradoxale
Qui peu à peu change son regard de dégoût pour un regard bienveillant sur elle-même.
Qui a encore du chemin à faire et qui ne lâche pas l’affaire…
Il est des choses que l’on ne peut faire avancer sans un coup de pouce, de la vie, d’une amie…
Des retrouvailles facebookoises, une vieille pote de galère,
Qui sans avoir le même parcours que moi, est sur un chemin similaire,
Qui par sa propre libération m’incite à avancer un peu plus encore dans cette aventure….
Et je la découvre Plumpy, chic, pleine d’humour, elle et ses comparses…
Et plus ca va, plus j’aime feuilleter articles et tenues du jour.
Et ca me donne envie, incroyablement envie… de me dévoiler moi aussi un petit peu plus…
De vivre ma féminité toute en rondeurs avec un poil plus de légèreté…
…Et Plumpy qui ne cesse de me dire « OSE !! »…
Alors, je vais jusqu’au bout, mets dans les mains de ma sœur de cœur un appareil jusque là terrifiant pour moi, et affiche ma féminité du jour…
Parce qu’après tout je suis une femme, une femme libre de se sentir belle et bien dans ses talons comme dans ses tongs.
Aventure passionnante qu’est notre propre épanouissement, je vais jusqu’au bout.
Et c’est fou ce que ca fait du bien… !!
Merci les Plumpies , merci Sista Alice (et merci ma Psy)
Colline alias Plumpy Zion
Gogole III
Ca faisait longtemps que vous l’attendiez : le top 3 des requêtes Google!
Ben oui, après notre période trouble estivale, il fallait un peu de matière à Google pour nous retrouver pour le meilleur ou pour le pire.
Voici donc le Top Of The Pops des mots-clefs incogrus que tu as tapé dans notre moteur de recherche préféré et qui t’ont conduit chez les Plumpies, cher lecteur adoré:
- un étron dans la bouche : bon ben je vous avais prévenus que mes charmantes lectures nous promettaient de belles requêtes. Ca n’a donc pas tardé! Amateurs de scatophilie, passez votre chemin, aucune Plumpy ne mange de ce pain là (à moins que…)
- photos de vieilles toute nue sous leurs robes au travail : bien que certaines d’entre nous aiment à ne pas porter de culotte, nous sommes jeunes et amatrices de soutiens-gorge. Passez votre chemin…
- mouls pour tete de shade 200g : j’ai pas trouvé le décodeur. Quelqu’un m’aide à me sauver de l’ignorance?
C’est tout pour aujourd’hui…
Ca plumpe à la télé tonite!
Si vous êtes des adeptes de la plumposhpère, vous n’aurez certainement pas manqué l’événement qui agite ce petit monde aujourd’hui.
J’ai linké son blog cette nuit pour vous parler de bijoux: Big Beauty aka Stéphanie Zwicky.
C’est un peu la Plumpy originelle (enfin dans la plumposphère francophone, entendons-nous) : elle a fait partie des pionnières de blogs mode pour les rondes (même si je n’aime pas trop ce terme un peu galvaudé). La petite suissesse qui bossait dans la dentition est montée il y a quelques années pour vivre la bohème, la vie d’artiste.
Elle a plutôt bien réussi : on l’a vue partout cette année, à commencer par le Elle spécial Rondes, puis tous les magazines féminins qui ont surfé sur la vibes, sur Taillissime pour une collec’ qu’elle a dessiné.
Ce soir donc, la demoiselle commence une nouvelle vie télévisuelle : chroniqueuse beauté dans 100% mag.
J’ai donc guetté puis regardé l’émission. Je ne suis pourtant pas fan de ces émissions dans la continuité du journal de Jean-Pierre Pernaud.
Bon ben là, j’ai fait fort : je me suis tapée les sujets suivants « faire ses conserves c’est trop génial » et » les vacances de Francis Lalanne au Portugal ». Et puis, Stéphanie est arrivée avec son sujet « avoir des cheveux de déesse ».
Au-delà de la beurkitude de mettre de la moëlle sur ses cheveux (je ne suis pas prête à tout pour La Mode, La Mode, La Mode), Stéphanie s’en est bien sortie, malgré le stress présent et les petits rires nerveux. On a bien senti que c’était de la monoprise! Ca passera avecc l’habitude…
Je ne suis pas sûre de tenir le choc à plusieurs de ces émissions (demain les sujets sont Johnny et les produits du terroir), mais un petit conseil à Stéphanie en tout cas : le conseil beauté doit être aussi glamour que le résultat, sinon je préfère acheter une crème même pas chère.