Archive pour avril 2010

31 ans le 29 Avril, ça c’est fait !
Le 29 avril c’est aussi le jour où mon facteur-des-colis (répondant également au doux sobriquet de Colissiman) a commencé à moins m’aimer : ben oui, Plumpy Chic elle fait fonctionner La Poste.

Et elle adore recevoir des p’tites naffaires inopinément.

Alors merci à ma grande sœur pour le réveil matin simulateur d’aube qui me permettra de me réveiller tous les matins en mode fraîche-comme-la-rosée.
Et merci à mon petit frère pour s’être souvenu que Plumpy Chic adore cuisiner pour ses amis et en m’offrant des cercles de cuisinier qui transforment la moindre purée en tambouille zarma Grand Chef. A suivre…

Ah oui : Plumpy Chic adore se la raconter. What else…? Nan mais franchement…

Merci à Plumpy Trash et Plumpy Cool d’être passées pour un apéro birthday en compagnie de Plumpito (nouveau surnom de M. Trash semble-t-il) et de Mr. P.
Arrivées donc les bras chargés d’une partie de mon cadeau (chouette, encore des p’tites naffaires à suivre !).

Les plumpies ont décidé cette année de parfaire mon éducation en m’offrant quelques ouvrages tels « Le Kama Sutra de nos aïeux », « Sex and the bureau » ou encore « Même Dieu est célibataire alors arrêtez de me SAOULER ».

Mais le top du top, the ultimate cadal aura été pour moi une révélation : « Le bonheur de séduire, l’art de réussir » par Nadine De Bloody Rotschild.

Voilà, la simple ouverture de ce livre de référence a immédiatement provoqué une raideur de mon auriculaire gauche, ça y est, Nadine est en moi !

Aujourd’hui,  j’ai pris mon aprem pour me préparer et me faire belle ce week-end.

Cette nuit, je traverse la France en train pour rencontrer ma lointaine (dans tous les sens du terme) belle-famille. Comme je veux que mon Plumpito soit tout fier de sa chérie, je me dis, tiens j’ai une bonne idée, je vais aller chez le coup’tif. Vu que ça fait 13 mois que je n’ai fait que des shampooings et des auto-franges (oui j’aime bien me le faire moi-même), je vais aller voir un professionnel.

Bon ben je suis pas du genre compliquée quoi :

« Un soin après le shampooing? »

« Non »

« Une couleur?

« Non »

« Un dégradé? »

« Non. Coupez juste les pointes enfin ce qui est foutu dans la longueur, vous pouvez aller jusqu’à 10 cm, et vous pouvez me défricher un peu la frange? (oui, elle m’arrivait à la narine, pas pratique, quoi!)

Ok, avec le temps d’attente, le shampooing, la coupe + brush, je suis passée en 20 min chrono.

Moi, qui aime bien les franges basses (ce que j’avais d’ailleurs), ben c’est raté. Cette putain d’incompétente professionnelle m’a fait une frange qui commence à la moitié de la tête : une saloperie de frange disco, J’AI UNE TRONCHE A ÉCOUTER DU DISCO MOI????

Je retiens toute la rage dans mon corps pour pas lui en coller une, je passe en caisse : 37€. Je demande le pourquoi du comment de ce foutage de gueule, j’ai vu 29 en vitrine. Oui mais je me suis faite niquer sur le supplément cheveux longs (oui c’était sur une feuille A5 tout en bas à droite de la vitrine, en police genre arial 8, la feuille qui est à la hauteur du gamin de 4 ans (qui n’aurait pas su lire le prix, de toute façon il s’en fout c’est le fric à maman).

Bon ben ça m’apprendra à aller jouer dans le bac à sable de la pétasserie…

Cette photo est extraite du making of de la Plumpy Style Session #1, parce que nous aussi on le vaut bien, merde!

Et encore merci putito et son assistant stagiaire pour cette star session

Je ne connaissais pas du tout la BD, mais une queue de ptérodactyle en plein Paris début XXe siècle m’a convaincue d’aller voir le film.

Alors, je vais essayer de raconter et de faire un petit teasing du film; mais je vous avoue tout de suite, c’est une extraodinaire histoire absolument abracadabrante.

Adèle est une journaliste  qui part  en Egypte (alors que son éditeur la croit au Pérou) récupérer une momie médecin de pharaon. Avec les compétences d’un scientifique et magicien, elle espère la ramener pour la faire revivre et soigner sa soeur qui est à moitié morte avec une épingle dans la tête. Pendant ce temps, Esperandieu, le sciento-magicien s’est amusé à faire éclore par télépathie un oeuf de ptérodactyle qui était exposé au museum d’histoire naturelle.

Absolument abracadabrant, n’est-ce pas? Inracontable, mais je vous avais prévenus…

J’ai rigolé jusqu’à plus soif! C’est un bon petit film français à gros budget (Besson est derrière tout ça évidemment). Ca ne vaut peut-être pas de payer 10€, mais si vous avez un tarif réduit ou une carte de fidélité de votre cinéma préféré, GO! GO! GO!

Et puis, final touch, Adèle est belle et rebelle, alors je ne pouvais qu’aimer.

Vous trouverez en bas de chaque article un bouton « J’aime ».

Oui, c’est le bouton facebook. Comme sur facebook, vous ne pourrez pas ne pas aimer.

Et c’est interactif avec facebook:

C’est beau la technologuique, n’est-ce pas?

Dans mon précédent billet, j’évoquais non sans émoi mon week end délicieux en compagnie d’un charmant inconnu. Un terme qui ne lui va pas du tout tant il gagne à l’être, connu. Alors je vous le présente : Mr C.

Ma condition de plumpy m’a, au fil des ans, fait traverser de nombreux états d’âme, qu’ils soient heureux ou un peu moins. Je ne vais pas m’engager ici dans le récit de mes réflexions métaphysiques à ce sujet ou « La Vie, la Mort, l’Existence : La Plumpitude » mais plutôt partager mon expérience du moment : le regard de l’autre.

Pas le regard qui pense voire qui juge, mais bien l’éclairage qu’apporte un œil extérieur et en l’occurrence bienveillant sur quelqu’un que l’on croit connaître par cœur et sous toutes ses coutures : soi-même.

Et c’est ainsi, au détour d’une complicité à peine naissante, étalée de tout mon long sur un lit à fumer des clopes en saisissant précisément le sens du proverbe « Carpe diem », que je m’entends dire par la voix chaude et profonde de Mr C. « Oh je ferais bien une photo là ! ».

Carpe diem ? Eh bien c’est le moment ma grande, laisse-le faire…

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi je le trouve sacrément joli le regard de Mr C…

Plumpy Chic, qui se prend pour Carrie Bradshow à rédiger son article sur son laptop en fumant des clopes…

Oui j’ai bien dit à l’air !
Et voilà que grâce à Plumpy Trash, en plus de vivre ma vie, il va falloir que je l’écrive… chic alors !

Alors oui c’est le printemps, les oiseaux chantent, les arbres bourgeonnent alors que les ados, eux, n’ont pas attendu le printemps pour le faire et tout parisien qui se respecte est assis à une terrasse quelconque exposant fièrement ses avant bras blanchâtres aux premiers rayons du soleil.

Et Plumpy Chic elle aime, elle adore le printemps. Qu’elle le veuille ou non d’ailleurs, elle n’a aucun contrôle là dessus, ce sont ses hormones qui décident.
Ni une ni deux, elle sort ses jambes ! Rien de tel qu’une brise légère faisant voler jupette, robe ou tout autre attribut faisant se retourner d’envie les parisiens pour lui donner le sourire. Elle est comme ça Plumpy Chic, elle papillonne !

Naturellement Plumpy Chic est shoes addict !

Son vendredi soir en charmante compagnie était si passionnément médiocre qu’elle n’en racontera pas plus.
Alors que sa compagnie du samedi était, elle, plus qu’agréable… Petit verre d’un bourgogne fruité à souhait (le nom du vin est Délices et Plaisirs il me semble, nom parfaitement évocateur de la suite du week end) à la terrasse d’un petit bar à vins d’une rue calme du centre de Paris. Dès que je retrouve le nom du bar, je lui fais sa pub !
Puis re-terrasse dans les jardins du Palais Royal pour finalement terminer sur une chaise longue du jardin des Tuileries. Accompagnée donc d’un homme aussi drôle que craquant et aux yeux de Plumpy Chic, terriblement sexy !
A tel point qu’elle a annulé son rdv du lendemain (Oui, c’est le printemps !) pour filer le retrouver et passer un dimanche comme on aimerait en passer plus souvent… Chut !

Fin du tout premier post de la vie de Plumpy Chic. Champagne !

Alors, comme promis dans notre précédent billet, Plumpy Trash & Cool sont parties au restaurant.

Nous sommes allées au Firenze, le resto d’amoureux de Plumpy Trash : étant à deux pâtés de maison, cette Plumpy peut rentrer chez elle raide saoule morte, puisqu’elle ne devra pas driver (Plumpy est trash mais tient aux points de son permis).

Le Firenze est un resto italien avec un peu de bouffe franchouillarde. La déco est assez moche : Plumpy Cool s’interroge – Quelle déco? – Tout est marron beigeasse avec des rideaux bordeaux à pompons. La déco c’est le seul point négatif de ce resto. Si, des fois, ils mettent RFM un peu trop fort, mais pas toujours.

Question accueil : vous êtes accueillis par les cousins sympas des Tenardier. Ils sont très accueillants, et la serveuse adore malmener les mecs (de manière très sympa bien entendu).

La bouffe : on y va surtout pour ça. Les pizzas sont merveilleuses, et seront en forme de coeur si vous êtes une fille. Les pâtes et les autres spécialités sont tout aussi grandioses. Les assiettes sont bien généreuses.
En dessert, pas moyen de couper au tiramisu maison, tellement il est bon. Si vous êtes du genre aventurier, nous vous conseillons également l’irish coffee, plus irish que coffee d’ailleurs.

Aujourd’hui, nous avons testé pour vous en apéro : LE RICARD. Ah ben au début c’était difficile, on n’avait la place que pour rajouter une goutelette d’eau. Nous avons été à deux dessus, et il nous a tenu quasiment tout le repas. Plumpy Cool en a presque regretté d’avoir pris un Americano.

Au menu de ce soir, charcutaille et de la moule farcie : bah c’était trop bon. Ensuite escalope milanaise avec spaghettis au gorgonzola. Bah c’était trop bon aussi. Ensuite tiramisu (cf. plus haut) petit café etc. Addition : 24€ par tête de pipe.

Notre avis : qu’est-ce que vous attendez pour y aller!

Voici les coordonnées:
Le Firenze

72 avenue de Stalingrad – 95100 Argenteuil-Orgemont
Tél : 01 39 80 69 81 – Fax : 01 39 80 69 81

Sur le site, vous trouverez même un coupon pour un apéro gratos. (Nous on l’a raté, mais comme on va y retourner de toute manière…)

En ce premier week-end plumpy, Plumpy Chic est en rendez-vous galant (eh oui va falloir vous y habituer).

Les deux autres plumpies prennent l’apéro dans le jardin de Plumpy Trash. Si on n’est pas trop bourrées on vous fera une critique du resto du soir.

Pour l’instant, on prend l’air (voire l’ermitage)… (eh oui, va falloir vous habituer à l’humour de Plumpy Trash)